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24 août 2017

Le sens de l'Histoire (un entretien exclusif avec Z. Luchador)



-"Bordel, où est ce que j'ai foutu le mode d'emploi de ces tubes de peinture ?"



NR : Bonjour Zébulou, vous avez accepté de quitter quelques jours votre ermitage doré afin de nous accorder une série d’entretiens exclusifs autour des grandes questions qui ont jalonné votre itinéraire intellectuel.  Nous vous en remercions chaudement. 
 
ZL : De rien, je commençais à m’emmerder ferme dans ma résidence sous les tropiques et j’ai atteint le niveau 7568 de Candy Crush. Je sature un peu. Votre invitation tombe à pic.

NR : Vous êtes trop aimable. Voici donc une première question, tirée de vos réflexions de jeunesses : l’histoire progresse-t-elle ?

ZL : La véritable question serait, « l’Histoire (notez la majuscule) a-t-elle un sens ? » Le mot « sens » étant ici pris dans l’acception de direction, de but. C’est une question que les marxistes se sont longtemps appropriée mais qu’il est aujourd’hui possible d’aborder sans dogmatisme. 

NR : C’est heureux !

ZL : En effet, le matérialisme historique considérait que la succession des évènements, ce que nous appelons ici l’histoire, était déterminée quasi mécaniquement par un certain nombre de phénomènes (la dialectique, la praxis,  la lutte des classes, l’économie considérée comme scientifique…). Cette mécanique implacable aurait provoqué une succession d’évènements prévisibles dans leurs principes conduisant logiquement à la réalisation de la société sans classe (en passant par la dictature du prolétariat).

NR : Un genre de scientisme en fait, une croyance naïve en l’omnipotence de la science.

ZL : Exactement, mais comme l’a démontré dès le début du XX° siècle le très grand, l’immense mathématicien Henri Poincaré, il est totalement impossible de prévoir l’évolution d’un système qui a plus de trois variables indépendantes. Cela aurait dû suffire pour que les marxistes admettent que le sens de l’Histoire était un leurre. Les sociétés humaines sont régies par un très grand nombre de paramètres indépendants qui conduisent inévitablement à des évolutions à caractères chaotiques (au sens mathématique du terme).

NR : Est-ce à dire que, par nature, toutes les sociétés humaines finissent dans le chaos ?

ZL : Absolument pas ! Cela signifie simplement  que l’évolution des sociétés humaine n’est ni prédictible ni même modélisable, un peu comme le climat. Les grand nombre de variables entrant en jeu produisent des résultats dépendants fortement des conditions initiales. Une minuscule modification de ces conditions provoque d’énormes divergences. Toute tentative de prévision est donc totalement vaine. Prétendre que l’histoire aurait un sens est une erreur ou, plus probablement, une escroquerie intellectuelle.

NR : Voulez-vous dire que les défenseurs du matérialisme historique savaient que les bases théoriques de leur idéologie étaient minées mais qu’ils ont tout de même promus la dictature du prolétariat ?

ZL : Je n’en sais rien, mais c’est plus que probable. Ces gens-là n’étaient pas que des imbéciles et certains d’entre eux étaient même des génies dans leur genre.

NR : Mais le fait que le matérialisme historique ne fonctionne pas condamne-t-il pour autant l’idée qu’il y ait un sens de l’histoire, une progression ?

ZL : Il ne faut pas confondre progrès et progression. Les sociétés humaines évoluent, elles changent… on peut certainement considérer que dans certains cas, à certaines périodes, elles progressent. Mais c’est tout de même un jugement de valeur. Ce qui est considéré comme bien à certaines époques n’est plus du tout acceptable dans d’autres. Prenez comme exemple l’allongement de l’espérance de vie et la réduction de la mortalité infantile dans toutes les sociétés dans le cours du vingtième siècle. Ce sont, pensez-vous, d’indéniables progrès.

NR : En effet, ce sont des progrès extraordinaire difficilement contestables.

ZL : Pourtant imaginez que dans quelques décennies, les tenants de la deep écologie aient réussi à ce que leurs idées soient devenues la norme : ce que vous percevez comme un progrès, la multiplication du nombre d’êtres humains seraient alors considérée comme un terrible affront à Mère Nature, une chose terrible et haïssable.

NR : Je vois ce que vous voulez dire… l’histoire est déterminée à postériori.

ZL : « L'histoire est écrite par les vainqueurs »  avait dit Robert Brasillach en son temps… Il est aisé, à postériori, de considérer que l’histoire a eu un sens, mais à l’instant où nous vivons les évènements, ce sens nous est caché

NR : Mais pouvons-nous influer sur le cours des évènements ? Pouvons-nous infléchir ce flux pour qu’il adopte une direction plus conforme à nos valeurs, à nos aspirations ?

ZL : Oui, et  c’est le côté paradoxal de la dépendance aux conditions initiales : de minuscules actions peuvent avoir d’énormes effets. En politique, en économie, en polémologie, en marketing, des actions de faibles amplitudes peuvent obtenir des résultats extraordinairement grands… le problème c’est qu’il est tout à fait impossible de pronostiquer ces résultats… qui peuvent même être inverses à l’effet recherché.

NR : Merci Zéboulou, pour ce moment extraordinaire. Nous nous retrouverons pour de  nouveaux entretiens.

ZL : Avant de vous quitter, je voudrais vous donner une autre raison à l’impossibilité de prévoir l’Histoire. Je veux évoquer l’effet de boucle récurrente : si vous trouviez le moyen de prévoir les évènements et que vous communiquiez sur cette prévision, la prévision elle-même deviendrait une part des évènements et en modifierait donc le flux. Ceci créerait une boucle sans fin. La conclusion de cette expérience de pensée est toute simple : si quelqu’un parvenait à prédire les évènements historiques, alors, le déroulé des évènements ne pourrait plus être celui prévu et donc les évènements n’auront pas été au final anticipés. Ceci démontre l’inanité de toutes les prédictions publiées dans les domaines économiques, politiques, sociale…et en « sciences » humaines en général.

NR : Merci Zébulou, nous vous donnons donc rendez-vous bientôt pour un nouvel entretien.

ZL : C’est-à-dire que je n’avais pas tout à fait fini. Je vous aurais bien parlé des méfaits de la moyennisation, de l'incomplétude des systèmes formels et des cygnes noirs, mais puisqu’il semble que votre temps de cerveau disponible ait atteint sa limite, je vous dis à la prochaine.

26 avr. 2017

Léon Zitrone ( alias Groléon ) revient !

L’extraordinaire homme de média hélas trop vite disparu Léon Zitrone (alias Groléon) est revenu d’entre les morts pour une seule et unique interview avec notre reporter. En voici quelques extraits en exclusivité pour nos lecteurs assidus.

-        Notre Reporter : pouvez-vous dire ce que pense le peuple d’outre-tombe de l’élection de M. Trump à la présidence des Etats Unis d’Amériques ?

-        Groléon : Et bien, je dois vous dire que tout le monde s’en moque un peu. Voyez-vous, il n’y a pas de gouvernement chez nous et tout le monde s’en porte très bien. Alors le fait que ce soit machine ou bidule qui soit sélectionné par le système électoral, ça ne nous fait ni chaud ni froid.

-        NR : Mais tout de même, avez-vous suivi cette élection ?

-        Groléon : Il y a eu un tel tam-tam, que nous en avons effectivement entendu parler, mais de là à dire que nous l’ayons suivi, c’est un peu exagéré. Disons que nous en avons eu un lointain écho.

-        NR : Que pensez-vous de l’incroyable retournement de situation ?

-        Groléon : Je dis dire à vos lecteurs que, vu de l’autre rive du Styx , tous ces soit disant sondages, ces commentaires, ces projections nous semble vraiment très vaines. Je leur glisse au passage qu’ils devraient en faire de même et cesser de leur accorder le moindre crédit. 

-        NR : Croyez-vous que l’élection de M. Trump soit une bonne chose pour l’Amérique ?

-        Groléon : Que le candidat du lobby du BTP l’ait emporté sur la candidate portée par les groupes de pression militaro-industriels n’est pas une mauvaise chose.

-        MR : Nous vous remercions pour ces quelques mots qui ont certianement touchés nos lecteurs.

-        Groléon : Il n’y a pas de quoi. 

14 avr. 2016

Stéphane HESSEL revient pour s'exprimer sur "nuit debout" !



INCROYABLE : STEPHANE HESSEL revient d’entre les morts pour  s’exprimer sur Nuit Debout !




Au purgatoire, notre reporter a rencontré cette vielle baderne de Stéphane Hessel qui doit encore y passer quelques centaines d’années à écrire des pamphlets à dix balles. 

Souhaitant  réagir sur le mouvement Nuit-Debout, L'auteur d' Indignez-Vous ! a daigné accorder à NR (Notre Reporter) ce bref entretien. Vous constaterez que le verbe de Stéphane Hessel est  toujours aussi empreint de son inénarrable sagesse approximative.

NR : Cher Monsieur Hessel, que pensez-vous de ce mouvement spontané baptisé les Nuits Debouts ?

Stéphane Hessel : Ces réunions d’hurluberlus n’ont rien de spontanées ! Sans les EELV, le NPA et d’autres spécialistes de l’agitation, ils seraient déjà retournés devant leurs jeux vidéo et leurs collections de Lego®.

NR : Pourtant, il semble qu’on y trouve une volonté de repenser la politique, de remettre en questions les codes, de rechercher de nouveaux moyens d’exprimer le lien social !

Stéphane Hessel : Allez déambuler dix minutes au milieu de ce ramassis de minables ! Vous y verrez des lycéens et des étudiants qui n’ont aucune idée des conséquences de leurs actes, de la réalité de société d’aujourd’hui et des incroyables tensions en jeux ; vous y verrez des  salariés de la fonction publique et des salariés protégés, des syndicalistes, des retraités, des professionnels de l’assistanat associés à des profiteurs du système…aucun travailleur parmi eux. Comment voulez-vous qu’une seule idée utilisable surgisse ? Ils n’ont lu aucun des auteurs dont ils trahissent l’idéologie. Ce sont des nazes.

NR : Comment expliquez-vous que l’état laisse faire ?

Stéphane Hessel : C’est du marketing.  Tous ces gens, et surtout les plus jeunes vivent ensemble des moments intéressants, fédérateur d’une sensibilité de gauche. Presque tous resteront pour toujours des électeurs de gauche après avoir vécu ensemble des moments très fort qu’ils auront ressenti comme un combat d’avant-garde. Le PS au pouvoir a tout intérêt à laisser s’établir cette fraternité d’arme, comme il a par ailleurs tout intérêt à flatter l’électorat musulman, ce qui explique la présence incongrue des mouvements pro-palestiniens dans ces Nuits Debout.

NR : Pensez-vous qu’il y ait une corrélation entre Nuit Debout et le mouvement contre la loi sur le travail ?

Stéphane Hessel : Cette loi est un tissu d’âneries et un énorme contresens. Bien qu’elle été rédigée pratiquement par la CFDT, le pouvoir a accrédité l’idée qu’elle était une concession au patronat.  Les « jeunes » croient se battre contre la destruction du code du travail  alors qu’ils perdent sur tous les tableaux : le système ne vise en fait qu’à protéger ceux qui ont déjà du travail. Quant aux autres, ils peuvent crever… ou plutôt bénéficier du RSA, ce qui les conduits à avoir tout plein de temps pour faire les Nuits Debout

NR : En conclusion, quel conseil pouvez-vous donner aux militants de Nuit Debout ?

Stéphane Hessel : Qu’ils aillent se coucher ! Il y a tant de trucs géniaux à faire la nuit sous la couette. N’est-ce pas Simone ?

27 janv. 2015

A voir et revoir sans modération. C'est presque génial (l’atterrissage est un peu abrupte et il passe à côté de la notion de proto-science qui lui simplifierait bien la vie).
S'il n'était pas manifestement tombé dans la marmite du matérialisme historique, Lordon aurait confiné au sublime.

http://www.gabrielperi.fr/699.html


11 janv. 2015

Il faut se garder de tout amalgame !



EXCUSIF : LE PROFESSEUR CHORON S’EXPRIME SUR LA TUERIE DE CHARLIE HEBDO.



Notre reporter a rencontré le Professeur Choron dans un lieu que nous avons décidé de tenir secret pour des raisons évidentes. Voici quelques extraits de cette interview, la première qu’il accepte d’accorder depuis son décès survenu le 10 Janvier 2005 dans les conditions que vous savez. Ses propos n’engagent que lui.

NR : Vous avez  certainement pris connaissance du terrible attentat qui vient de frapper la rédaction de Charlie Hebdo. Quel commentaire cela vous inspire-t-il ?
Choron : Quelle bande d’enfoirés, ces tueurs. Mais il faut se garder de tout amalgame.

NR : Pensez-vous que cet acte ait un rapport avec le fait que les meurtriers ait été des islamistes.
Choron : Vous voulez dire des musulmans, c’est-à-dire des types qui croient qu’il existe un dieu auquel il faut absolument se soumettre. C’est l’expression de la plus pure connerie. Je leur pisse à la raie, mais je me garde bien de tout amalgame.

NR : D’après vous, l’islam est-il soluble dans la démocratie ?
Choron : Vous n’êtes pas à l’abri d’une question débile. Vous devriez savoir que l’islam n’est pas une religion mais un système de vie, un système juridique et un mode de gouvernement. Les musulmans veulent que le monde entier soit musulman. L’islam n’est soluble dans rien. Mais gardons-nous bien de  tout amalgame.

NR : Professeur Choron, pensez-vous qu’il y ait trop de musulmans en France ?
Choron : Il y a trop de cons, mais gardons-nous de tout amalgame.

NR : A vous écouter, j’ai le sentiment que vous associez intimement l’islam et l’islamisme.
Choron : L’islamisme est le bras armé de l’islam. Les conquêtes, les invasions de l’islam passent par la bite, le pognon, la ruse et le bâton. L’islamisme c’est le bâton. Mais je me garde bien de tout amalgame

NR : Professeur Choron, et dieu dans tout ça ?
Choron : La croyance en ce concept foireux est à l’origine du comportement aberrant de ces connards d’assassins. Dieu n’existe pas dans le monde réel, c’est juste une pathologie de l’esprit humain. C’est une épidémie de bêtise qui se transmet de cerveau à cerveau. J’emmerde les croyants, et croyez-moi, je me garde bien de tout amalgame.

NR : je vous remercie d’avoir bien voulu répondre à nos questions. Avez-vous quelque chose à ajouter, un message particulier pour nos lecteurs ?
Choron : Je les emmerde. J’emmerde encore plus ceux qui ne vous lisent pas, mais je me garde bien de tout amalgame.

13 août 2010

Critique radicale de Dieu (6)


Après votre mort, vous avez prévu de faire quoi, vous ? Suivant votre religion vous avez potentiellement accès à tel ou tel paradis. Pour peu que vous ayez choisi la bonne version du pari de Pascal et que votre comportement soit en phase avec les exigences de votre religion, vous devriez vous retrouver dans un endroit assez agréable, à ce qu’il parait. Endroit, dit on, où la félicité le dispute au bonheur et à la béatitude.

Cool n’est-ce pas ? En plus vous y rencontrerez tous vos camarades de jeux du temps où vous étiez vivant, ou en tout cas ceux d’entre eux qui se sont comportés correctement et qui sont de la même religion que vous. Les autres rôtissent en enfer bien sûr.

L’existence potentielle d’un dieu nous permet aussi de mieux accepter l’absence des êtres chers qui ne sont plus là. Les savoirs dans un autre monde où ils sont potentiellement heureux nous aident à vivre et nous poussent à surmonter notre chagrin. Nous sommes irrésistiblement tentés de combler cette terrible absence. Le dieu de notre communauté humaine se trouve justement là pour nous donner quelque chose à quoi nous raccrocher. C’est une tentation naturelle, mais qui n’a pas de rapport avec le concept de dieu. J’ai toujours été étonné de constater que toutes les religions avaient une explication de la vie après la mort.

En effet, pourquoi devrait-on associer l’idée de dieu et la croyance dans une forme d’existence après le décès ?

L’homme a également inventé une autre forme de consolation : la métempsychose. Suivant que les personnes aient eu une vie plus ou moins bien réglée, quand elles meurent, elles ne meurent pas vraiment. Elles se réincarnent dans des individus ou des bestioles plus ou moins élevés dans une hiérarchie assez anthro-centrée. Je veux dire par là le que dans le cadre de cette croyance, se réincarner en ver de terre, c’est moins cool qu’en femme de président de la République.

Ensuite, au fur et à mesure des réincarnations l’on est sensé tendre vers une sorte perfection. Dans le cadre de cette conception de dieu, celui-ci est au bout de la chaîne : c’est l’être super parfait vers lequel on doit tendre, en respectant un certain de règles sociales.

10 mai 2010

Critique radicale de dieu (5)


Dieu est contagieux.

Savez-vous que Dieu est un « meme » ?

Un meme est un concept qui se transmet d’un esprit à l’autre comme un virus passe d’un corps à l’autre. L’idée de dieu est un meme particulièrement virulent.

Nous constatons que toutes les civilisations qui ont durées plus que quelques dizaines d’années ont adoptés une religion ou ont au minimum vécu avec des religions très présente en leur sein. Il semble que l’idée de dieu soit consubstantielle aux civilisations humaines qui ont assurées leur pérennité. La simplicité de ce concept, sa force, son effet rassembleur cimente les sociétés humaines bien plus surement que ne le fait la simple pensée rationnelle. Le sens de la justice immanente, consubstantielle à l’idée de dieu pousse chacun à respecter un certain nombre de règles qui facilite et pérennise la vie dans une société donnée. La coutume, adossée à la croyance commune, ancre l’individu dans un univers rassurant et codifié qui s’auto reproduit de génération en génération. Une fois la représentation de la divinité à peu près fixée, elle se transmet dans les lignées familiales et se développe de proche en proche avec l’essor de la population humaine qui en est infectée et la véhicule. Une croyance unique cimente les peuples et de plus, offre le prosélytisme comme une motivation à la coquète.

C’est un avantage compétitif énorme.

Une civilisation qui possède un tel outil à toutes les chances de s’imposer sur son aire géographique. On peut même supposer que l’avantage historique des civilisations monothéistes sur celles pratiquant le polythéisme vient de la plus grande efficacité fédératrice d’un seul dieu comparé au patchwork de la famille élargie d’un panthéon. C’est aussi probablement l’intuition de la nécessité de cet outil qui a poussé les révolutionnaires de 1789 à proposer l’être suprême comme support à la liesse du sans-culotte. Cette tentative de hold-up de l’imaginaire n’a pas eu, contrairement au système décimal, la postérité escomptée.

Maxime N° 365 ;: des causes et des effets.

365 – L’utilisation généralisée des modèles ne permet plus de faire la différence entre les causes et les effets. Pire : elle génère, entret...