EXCUSIF : LE PROFESSEUR CHORON
S’EXPRIME SUR LA TUERIE DE CHARLIE HEBDO.
Notre reporter a rencontré le Professeur Choron dans un lieu que nous avons
décidé de tenir secret pour des raisons évidentes. Voici quelques extraits de
cette interview, la première qu’il accepte d’accorder depuis son décès survenu
le 10 Janvier 2005 dans les conditions que vous savez. Ses propos n’engagent
que lui.
NR :
Vous avez certainement pris connaissance
du terrible attentat qui vient de frapper la rédaction de Charlie Hebdo. Quel
commentaire cela vous inspire-t-il ?
Choron : Quelle bande d’enfoirés, ces tueurs. Mais
il faut se garder de tout amalgame.
NR :
Pensez-vous que cet acte ait un rapport avec le fait que les meurtriers ait été
des islamistes.
Choron :
Vous voulez dire des musulmans,
c’est-à-dire des types qui croient qu’il existe un dieu auquel il faut
absolument se soumettre. C’est l’expression de la plus pure connerie. Je leur
pisse à la raie, mais je me garde bien de tout amalgame.
NR :
D’après vous, l’islam est-il soluble dans la démocratie ?
Choron :
Vous n’êtes pas à l’abri d’une question
débile. Vous devriez savoir que l’islam n’est pas une religion mais un système
de vie, un système juridique et un mode de gouvernement. Les musulmans veulent
que le monde entier soit musulman. L’islam n’est soluble dans rien. Mais
gardons-nous bien de tout amalgame.
NR :
Professeur Choron, pensez-vous qu’il y ait trop de musulmans en France ?
Choron :
Il y a trop de cons, mais gardons-nous de
tout amalgame.
NR :
A vous écouter, j’ai le sentiment que vous associez intimement l’islam et
l’islamisme.
Choron :
L’islamisme est le bras armé de l’islam. Les
conquêtes, les invasions de l’islam passent par la bite, le pognon, la ruse et
le bâton. L’islamisme c’est le bâton. Mais je me garde bien de tout amalgame
NR :
Professeur Choron, et dieu dans tout ça ?
Choron :
La croyance en ce concept foireux est à
l’origine du comportement aberrant de ces connards d’assassins. Dieu n’existe
pas dans le monde réel, c’est juste une pathologie de l’esprit humain. C’est
une épidémie de bêtise qui se transmet de cerveau à cerveau. J’emmerde les
croyants, et croyez-moi, je me garde bien de tout amalgame.
NR :
je vous remercie d’avoir bien voulu répondre à nos questions. Avez-vous quelque
chose à ajouter, un message particulier pour nos lecteurs ?
Choron : Je les emmerde. J’emmerde encore plus ceux
qui ne vous lisent pas, mais je me garde bien de tout amalgame.
1 commentaire:
Que d'eux ne point le lire, grand tort j'eusse alors; que de me la mordre avant leur mors.Jean le bon en rit en son cor au pied de nez gelé encore à nous dérider le poil au nez.
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