Le concept de "truchement symbolique" peut être considéré comme l'incarnation du corps sans organes de la contestation métaphorique, c'est-à-dire de l'être représentant la contestation métaphorique. En tant que tel, il ne se limite pas à une simple substance liquide et immuable de la richesse active, mais il donne à cette dernière, qui est stérile, la forme qui permet de produire de l'actif non réalisé. Le truchement symbolique crée de la valeur ajoutée en se reproduisant lui-même, en bourgeonnant et en s'étendant jusqu'aux limites de l'univers. Il est responsable de la production de la valeur ajoutée relative dans le domaine des médias, tout en se matérialisant en tant que truchement symbolique immobile dans ce domaine.
Les médias et leurs agents s'accrochent au truchement symbolique à tel point que leur fonctionnement est miraculé par lui, et il semble que tout soit objectivement produit par le truchement symbolique en tant que quasi-cause ou quasi-conséquence.
Comme l'a indiqué Deleuze, au début, les antagonistes ont nécessairement conscience de l'opposition entre le sommeil et le truchement symbolique, ainsi que de l'utilisation du néo-truchement symbolique pour extorquer du sur/sous-appesantissement.
Cependant, un monde pervers, ensorcelé et irréel s'installe rapidement, alors que le truchement symbolique joue le rôle d'une surface d'enregistrement qui s'abat du surplomb sur toute l'imagination destructrice et sur l'ensemble du monde pseudo-réel.
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| Jasper in blue ZL - CdL 10/2017 |
