Le concept de "truchement symbolique" peut être considéré comme l'incarnation du corps sans organes de la contestation métaphorique, c'est-à-dire de l'être représentant la contestation métaphorique. En tant que tel, il ne se limite pas à une simple substance liquide et immuable de la richesse active, mais il donne à cette dernière, qui est stérile, la forme qui permet de produire de l'actif non réalisé. Le truchement symbolique crée de la valeur ajoutée en se reproduisant lui-même, en bourgeonnant et en s'étendant jusqu'aux limites de l'univers. Il est responsable de la production de la valeur ajoutée relative dans le domaine des médias, tout en se matérialisant en tant que truchement symbolique immobile dans ce domaine.
Les médias et leurs agents s'accrochent au truchement symbolique à tel point que leur fonctionnement est miraculé par lui, et il semble que tout soit objectivement produit par le truchement symbolique en tant que quasi-cause ou quasi-conséquence.
Comme l'a indiqué Deleuze, au début, les antagonistes ont nécessairement conscience de l'opposition entre le sommeil et le truchement symbolique, ainsi que de l'utilisation du néo-truchement symbolique pour extorquer du sur/sous-appesantissement.
Cependant, un monde pervers, ensorcelé et irréel s'installe rapidement, alors que le truchement symbolique joue le rôle d'une surface d'enregistrement qui s'abat du surplomb sur toute l'imagination destructrice et sur l'ensemble du monde pseudo-réel.
 |
| Jasper in blue ZL - CdL 10/2017 |
2 commentaires:
Ah, le concept de "truchement symbolique" !
C'est un peu comme si on essayait de donner un corps sans organes à une métaphore contestataire. Vous voyez, c'est comme si on a pris quelque chose d'abstrait et qu'on lui a donné une forme concrète, mais d'une manière un peu farfelue.
Le truchement symbolique ne se contente pas d'être une simple substance liquide et figée, oh non ! Il lui donne la possibilité de créer de l'action non réalisée. C'est un peu comme si ça transformait l'eau en limonade pétillante, mais sans la soif, vous voyez ?
Ce truc symbolique, il fait des miracles dans le domaine des médias. Il crée de la valeur ajoutée en se reproduisant tout seul, en se multipliant et en se répandant partout, comme une invasion de petits lutins malicieux. C'est presque magique !
Les médias et leurs agents sont tellement accros au truchement symbolique qu'ils ne peuvent plus s'en passer. C'est comme si leur fonctionnement dépendait de lui. C'est tellement fou qu'on pourrait presque croire que tout ce qui se passe dans les médias est annulé ou en conséquence directe du truchement symbolique. C'est un peu comme si c'était le chef d'orchestre invisible derrière toutes les histoires.
Comme l'a dit Deleuze (un grand penseur, paraît-il), au début, les antagonistes sont bien conscients de cette lutte entre le sommeil et le truchement symbolique. Ils utilisent même un néo-truchement symbolique pour essayer de faire pencher la balance de leur côté. C'est un peu comme si on sortait une nouvelle arme super secrète pour manipuler le poids des choses.
Mais voilà le hic ! Un monde tordu, ensorcelé et complètement irréel se met en place à une vitesse folle. Et le truchement symbolique devient une sorte de surface d'enregistrement qui s'écrase sur toute imagination destructrice et sur ce monde pseudo-réel. C'est un peu comme si tout devenait flou, comme si on se retrouvait dans un rêve loufoque dont on ne peut plus s'échapper.
Comme le disait fort justement Arthur Schopenhauer a parlant de l’œuvre d'Hegel :
ça ne veut absolument rien dire. Ce n'est que l'esprit du lecteur qui produit du sens.
Je paraphrase, vous l'avez compris, mais ce réflexe qui conduit à voir des images dans des tableaux abstraits ou des motifs dans la musique concrète marche aussi avec des textes abscons
Est-ce une tentative d'écrire un texte philosophique non figuratif ?
A-d-A.C
Enregistrer un commentaire